Apocalypse

Tant d’avion écrasé contre les massifs
Tant de navire échoué contre les récifs
Une vie méprisable et de l’air irrespirable
Espèce rare, pour eux il est déjà trop tard
Des tremblements de terre, tout s’écroulent et nous rends amer
Des volcans en éruption, voila de quoi faire fuir les populations
Une nuit sans étoile, ciel caché par ce voile
Des visions noires, je ne veux plus les voir
Un avenir ou tous nous allons mourir
Des larmes de vérité qui me transpercent telle une épée
Comme les humains, terre mère a lancée des appels en vain
Tant d’avion écrasé contre les massifs
Tant de navire échoué contre les récifs
C’est le début de la fin de la vie des êtres humains.

Le 19/04/09

Regardant par la fenêtre je ne peux voir que ce ciel gris qui ne demande qu’à déverser des torrents de pluie.
Toi qui peut parfois avoir des nuages si pâles, qui ont l’air d’être aussi moelleux comme du coton, tu nous noie aussi avec des rayons de soleil, ceux-ci pouvant donner des bonheur aux un et de la douleur, de la faim et la soif aux autres.
Tu vois mon cher ciel je suis un peu comme toi.
Il m’arrive de devenir ténébreuse et d’une simple lame comme toi avec l’éclair, je vise et je fais mal à ma propre chair, tu frappe les arbres faisaient sortir les fleuves de leurs lies, tout comme moi je frappe des fleuves à l’apparence bleus mais qui laissent couler un liquide rouge épais qui en devient noir selon la quantité.
Comme toi il m’arrive aussi d’éclater et de déverser des torrents de larme, tout comme toi tu laisse tomber la pluie, tu t’agite, tu hurle, blessé, peut-être même fatigué, si tu savais ce que je peux te comprendre.
Me regardant je me mets, me disant que je ne peux rester ainsi, que je suis hideuse et sale et je veux laver cette saleté tout comme toi tu veux laver ton sol, rongé par la bêtise humaine et pourris par la pollution.
Tu vois, ton corps la terre se meurt et tu espère toujours des rayons de soleil, tels mes sourires lors de mes moments d’espoir.
Puis il t’arrive de craquer et de tout arracher, tout tuer, tout meurtrir, pleurer, hurler mais tout comme moi personne ne le voit et tu continus dans tes sombres nuages à déverser ta folie, tout comme moi je garde mes larmes salés comme la mer et cette lame comme l’éclair qui peut me faire crier, hurler, pleurer, mais me soulager pour affronter de nouveau le monde dans lequel nous vivons.

“Si tu vie dans tes rêves tu ne peux vivre, si tu accepte le rêve tout en vivant il te reste une chance”

On trouve le bonheur sur cette planète d'une façon ou d'une autre, on peut y arriver mais pas tous, pourquoi ? Soit disant notre bonne étoile ? Notre destin ? Non il fallait juste construire et évoluer, se débrouiller soit même quitte à se montrer cruel et sournois, mais ce monde n'était qu'un amas d'âmes bourrés d'orgueil il fallait faire avec.
Des personnes oublient en rêvant, il y a aussi l'alcool, les drogues, l'autodestruction et j'en passe....
De tout sens un jour ou l'autre quand le bonheur n'est qu'une illusion on finit par stopper la vie et faire un allée simple au cimetière.
Moi j'avais apprit à connaitre la vie, à cracher mon venin quitte à blesser la personne face à moi, dans ce monde il fallait se défendre et il fallait protéger nos aimés, apprendre aussi à lutter à ceux à qui nous tenions pour ne pas qu'il tombe dans le piège de l'illusion.
Ainsi va la vie ..... Point de vue personnel.

Chapitre noir

Le ciel est bleu et mon cœur malheureux
Le ciel est noir, tout est en mon pouvoir
Les jours ensoleillés me font pleurer
Quand revient le soir, réapparait l’espoir
Une nuit sans soucis et des rêves de magie
Les jours pluvieux me rendent curieuse
Adieu le jour, jamais de retour
Adieu l’espoir, tout est enfin noir.


Septembre 2004