Drago Lucius Malefoy

Comment le monde pouvait-il redevenir comme il était avec tout le mal qui s’y était passé ? Mais en fin de compte, elle ne fait que passer, cette ombre... Même les ténèbres ne font que passer...

Spoiler:

ONCE UPON A TIME

Comment reprendre le cours de son ancienne vie, comment continuer, lorsque dans son cœur on commence à comprendre qu’on ne peut plus retourner en arrière.
Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser, des blessures si profondes qu’elles se sont emparées de vous.

Je suis né le 5 juin 1980, oui, je suis gémeaux. Mon père est issus comme ma mère d’une très grande lignée noble de sang pur, Lucius Abraxas Malefoy et ma mère Narcissa Malefoy, nom de jeune fille, Black.
Mes parents m’ont alors nommés, Drago Lucius Malefoy, pourquoi Drago ? J’ai fais mes recherches. Draco = "grand serpent", "dragon" en latin ; législateur athénien tyrannique ; l'un des chiens de chasse d'Acteon (ils tuèrent leur propre maître). Le "Dragon" (Draco) est également la constellation contenant "Thuban", l'ancienne étoile égyptienne indiquant le pôle nord (plusieurs pyramides égyptiennes étaient alignées dans sa trajectoire).
Bref, quelle idée, mais quand on est qu’un nourrisson on ne va pas choisir comment l’on veut ce nommer.
J’ai grandis dans un grand manoir avec mes parents, puis les elfes de maison, dont l’un qui s’appelé Dobby et qui fut libéré par St Potter, enfin, longue histoire, n’empêche que c’était le seul qui resté près de moi quand j’étais enfant et que j’attrapé une mauvaise fièvre, mes parents avaient toujours mieux à faire, que soigner une « petite » grippe, ou je pouvais monter à 40 de fièvre, ah oui, j’ai une folle tendance à me plaindre, mais ça vous l’avez sans déjà remarqué.
Comment se déroula mon enfance ? Bien comme tout noble sang pur, les leçons, l’apprentissage des bonnes manières, mépriser les plus faibles, devenir le parfais héritier en quelque sorte.
Je n’ai jamais connus l’amour, mon père refusait que ma mère me câline ou m’embrasse, vue que je ne savais pas ce que c’était, je trouvais cela normal.
Je pris alors mon père comme modèle, lui, un homme puissant que tout le monde respecte, je l’admirais tant, je faisais tout pour voir de la fierté dans ses yeux.
Quand je réussissais mes potions avec succès, il me félicité, avec une mince lueur dans les yeux, mais ça s’arrêté la, comme j’aimerais qu’un jour il me dise « je suis fier de toi mon fils ».
A 11 ans je rentra à Poudlard, je rencontra Potter, celui-ci refusant ma poignée de main fut vite devenus mon souffre douleur, jamais on ne refuse la main d’un Malefoy! Surtout quand c’est pour rester avec une belette et une sang de bourde.
Entre mes cours ou j’avais toujours des bonnes notes, sans me vanter, je prenais un malin plaisir à torturer Potter et ses « amis ».
Moi j’étais toujours suivis de Crabbe et Goyle, deux abrutis, mais qui savent bien cirés mes chaussures, puis des brutes bien épaisse, il est vrai que je ne suis pas très imposant, on peut même dire que j’ai toujours étais fluet.
Ma seconde année, mon père paya des personnes hauts placées pour que je rentre dans l’équipe de Quidditch à Poudlard, il voulait que je batte Potter, moi aussi d’ailleurs, il offrit même à toute l’équipe des nouveaux balais, mais je perdis le match, à mon grand malheur, mon père s’en est rappelé, je peux vous dire que j’ai vraiment passé un « agréable » noël au manoir.
Toujours la même chose, Potter qui me battais au Quiddtich, les gryffondors qui remportaient la coupe des 4 maisons, plus le temps passé et plus mon père avait honte de moi, les friandises que je recevais à ma première année, se faisait rares, je recevais toujours des regardes de reproche, pourquoi ? Parce qu’une sang de bourbe était encore meilleur que moi en cours et que Potter arrivait a être dans les petits papiers du directeur. Les vacances chez moi devenais même inssuportable, je devais travailler, encore et encore, jusqu’à en tomber de ma chaise…
Puis en cinquième année, mon père fut arrêter et emmené à Azkaban, pendant que la sœur de ma mère, Bellatrix Lestrange, la plus fidèle de Voldemort c’était évadé. Elle se cacha au manoir et m’apprit l’occlumencie. J’étais devenus l’homme de la maison, l’arrisé du ministère, le souffre douleur des journalistes, ma mère versé des larmes silencieuses, jusqu’au jour ou je fus appelé par celui que mon père appel « Maître ».
Une mission, l’espoir de vivre qui devenait de plus en plus mince, une mauvaise blessure, des insomnies, des menaces, mais j’ai réussi, sauf la partie la plus importante, tuer le directeur.
Severus (mon professeur de potion le fit à ma place, mais moi, je n’avais plus de raison de vivre, j’ai vécus encore une année en enfer, maudissant le jour ou j’étais né, voulant mourir, puis espérant que celui que j’avais toujours haï et méprisé, tue ce monstre. Ce qu’il fit d’ailleurs…
Je ne veux plus me rappeler cette période, même si elle hante encore mes rêves, j’ai retrouvé mon père, mais Azkaban la presque rendus fou, de plus que la moitié de notre fortune nous a étais retirée.
Je ne préfère même pas rester au manoir, pour le moment, j’erre dans le château de Poudlard ou je vais pouvoir refaire ma dernière année…
Dernière année de guerre, de bain de sang, d’horreur et de souffrance.
Je préfère fermer les yeux, arracher cette marque qu’on m’a imposée mais cela m’est impossible.
La guerre est terminée mais à quel prix ? Tant de mort dont mon parrain, Severus Rogue. Tant à reconstruire …
Mes souvenirs me hante, je veux faire le bien, me racheter en quelque sorte, je suis donc étudiant en médicomagie espérant un jour peut-être avoir le courage que je n’ai jamais eu.